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Lettre n° 618
du 18 juin 2025
 

Nos sélections de la quinzaine

 
 

 

 


 
      THÉÂTRE

 
 


Photo Vincent Pontet - Collection Comédie-Française



 

LA SOURICIÈRE d’Agatha Christie. Mise en scène Lilo Baur. Traduction Serge Bagdassarian, Lilo Baur. Scénographie Bruno de Lavenère. Costumes Agnès Falque. Lumières Laurent Castaingt. Musiques originales et son Mich Ochowiak. Maquillages et coiffures Cécile Kretschmar. Avec Clotilde de Bayser, Christian Gonon, Serge Bagdassarian, Anna Cervinka, Claire de La Rüe du Can, Jean Chevalier ou Yoann Gasiorowski, Sefa Yeboah, Jordan Rezgui.
Giles et Mollie Ralston, un jeune couple, mettent la dernière main à l’ouverture de l’auberge du manoir de Monkswell, dont Mollie a hérité. Presque toutes les chambres sont réservées mais une tempête de neige fait rage. Les pensionnaires arrivent malgré tout. Morts de froid, ils secouent, les uns après les autres, manteaux, écharpes et chapeaux couverts d’une neige que le vent introduit à chacune de leur entrée. La radio et les journaux annoncent une nouvelle, celle de l’assassinat d’une femme commis à Londres. Seul indice, le suspect porte manteau, écharpe et chapeau!
L’inspecteur Trotter survient. Il révèle à l’assemblée qu’un carnet a été retrouvé sur la scène de crime. Deux adresses y sont notées, celle de l’hôtel où le corps a été découvert et celle du manoir de Monkswell. Selon Trotter, le premier assassinat peut en cacher d’autres. Qui parmi l’assistance pourrait avoir un lien avec cette affaire ? Il ne croit pas si bien dire. Peu après, un pensionnaire est effectivement retrouvé mort. L’enquête est en marche.
Ecrite en 1947 pour la radio, «La Souricière» (The Mousetrap) est à l’affiche à Londres depuis 1952, date de sa création pour le théâtre. «La reine du crime» dresse comme toujours le portrait d’hommes et de femmes originaux, au passé trouble et développe péripéties et rebondissements dans une atmosphère angoissante, entretenue par la répétition lancinante de «Trois souris aveugles» (Three Blind Mice), une comptine vieille de quatre siècles. ... (Lire la suite).





 

Photo Sebastien Toubon



 
LE BONHEUR CONJUGAL de Léon Tolstoï. Adaptation et mise en scène Françoise Petit. Avec Anne Richard et Nicolas Chevereau (au piano). Avec la participation amicale de Jean-François Balmer.
Une datcha sous la neige perdue en pleine campagne. Macha et Sonia, sa sœur cadette, vivent la monotonie des jours glacés, couvées par Katia, leur gouvernante. Depuis le décès de leur mère, les habits de deuil sont de rigueur. À dix-sept ans, la solitude déprime Macha, désolée de voir sa jeunesse se perdre. Au printemps, l’arrivée de leur tuteur qu’elle n’a pas revu depuis six ans, est comme une bouffée d’air frais. Ami de son père et de presque vingt ans son aîné, Sergueï Mikhaïlitch a vieilli, mais sa présence et sa conversation l’enchantent. Surpris de voir la fillette qu’il a quittée devenue une jolie jeune fille, l’homme n’est pas insensible à sa beauté exempte de coquetterie bien que leur différence d’âge soit pour lui un obstacle. Il se trouve trop vieux mais Macha n’a d’yeux que pour lui. Il ne peut s’empêcher de l’aimer. Ils se marient.
Lorsque Léon Tolstoï écrit le Bonheur conjugal, il a trente ans et n’a pas encore rencontré la femme qu’il épousera deux ans plus tard, de seize ans sa cadette. C’est à Macha qu’il donne la parole. Elle conte avec fougue la première surprise de l’amour, les mutuels élans du cœur, puis, après les premiers mois d’un bonheur sans nuages, la solitude qui réapparaît. La jeune femme s’étiole au fil des jours dans un quotidien routinier. Sergueï comprend. Ils s’installent à Saint-Pétersbourg puis à Moscou. Les soirées où elle séduit lui tournent la tête, une coquetterie qui heurte un époux qui s’éloigne… ... (Lire la suite).






 
      EXPOSITIONS ET SITES

 
 


Photo Spectacles Sélection




 

DAVID HOCKNEY 25. Les expositions de celui qui est sans doute le plus grand peintre vivant de notre époque s’enchaînent pour notre plus grand plaisir. Citons tout récemment «David Hockney, rétrospective» au Centre Pompidou en 2017 (Lettre n°439) et «David Hockney, a Year in Normandie» au musée de l’Orangerie en 2021 (Lettre n°533), sans oublier des expositions chez son galeriste, la Galerie Lelong, à Paris, et d’autres plus anciennes. Hockney est un artiste infatigable. Sa production est considérable et il continue de travailler avec toutes les techniques disponibles, depuis le crayon, le fusain, l’aquarelle, jusqu’au Polaroïd, la tablette et l’iPad, en passant par l’huile, l’acrylique et la vidéo. Le résultat est toujours aussi enthousiasmant. C’est avec plaisir que nous revoyons des œuvres emblématiques comme Mr and Mrs Clark and Percy, Portrait of an artist (Pool With Two Figures), A Bigger Grand Canyon, Bigger Trees near Warter (son plus grand tableau) et bien d’autres. Mais pour ces vingt-cinq dernières années, Hockney, qui s’est personnellement investi dans la conception de cette exposition, nous présente bien des nouveautés, en particulier parmi les œuvres qu’il réalisa en Normandie durant le confinement.
Le parcours de l’exposition commence en 1955 avec Portrait of My Father. D’autres portraits sont également exposés, y compris ceux où il affirme franchement son homosexualité en dépit des interdits dans les années 1960 en Angleterre.
Après Bradford dans le Yorkshire, où il est né en 1937, et Londres où il entre au Royal College of Art, nous suivons Hockney à Paris et Los Angeles, sans oublier l’Italie, Berlin et New York. Ici se sont des retrouvailles avec des œuvres bien connues.
La section suivante, «Retour dans le Yorkshire (1997-2013)» nous présente des tableaux, souvent de grandes tailles, peints sur des panneaux juxtaposés, représentant des paysages forestiers à diverses saisons de l’année. Un ensemble de 36 aquarelles complète ces paysages.
La galerie suivante, «Portraits et fleurs (2000-2025)», nous réserve une surprise de taille avec une multitude de portraits de mêmes dimensions et d’autres de différentes tailles, ainsi que des bouquets tous peints de la même manière durant le confinement de 2021. Hockney ne s’arrêta pas à cette vingtaine de bouquets. Il en fit un grand tableau où il se représente deux fois, en train de les admirer. Nous avons aussi deux grands tableaux montrant le même groupe de gens face à un miroir ou à des toiles de Hockney. ... (Lire la suite).





 
 
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