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Lettre n° 415
du 20 février 2017
 

Nos sélections de la semaine

 
 

 

 


 
      THEATRE

 
 


Photo Corps&Graphe

 

MASCARADES de Marina Gauthier. Mise en scène Coralie Miguel.
Le désordre et la décrépitude du petit appartement sont à l’image de celle qui l’habite. Les cheveux en bataille, les vêtements négligés, Suzanne traîne sans but d’un fauteuil à l’autre. Elle vit seule. Plus de mère, plus de mari, plus d’amis, une fille fâchée depuis quatre ans. Elle noie sa solitude dans l’alcool, la trompe avec ses souvenirs et quelques travaux de couture, vestige de son ancien métier. Elle aurait voulu être chanteuse, réussir sa vie mais elle est là, cloîtrée entre ses quatre murs avec, sur le cœur, un drame qu’elle n’a pas surmonté. Lucie, son adorable voisine, met un peu de soleil dans son quotidien. La jeune fille, prise de pitié, a accepté ses clés et lui apporte chaque jour son sourire et ses services, supportant avec patience l’humeur exécrable de la retraitée. L’anniversaire de Suzanne approche. ... (Lire).


 


Photo Cyril Nyai

 

LE BAL d’Irène Némirovsky. Mise en scène Virginie Lemoine et Marie Chevalot.
On devrait toujours se méfier de l’imprévisibilité vengeresse de l’adolescence… Une mère déteste sans aucune cordialité sa fille, qui le lui rend bien, et les noms d’oiseau volent dans l’air familial. Vulgaire et sans grâce, Madame a eu la chance de se faire épouser par son amant, soudainement enrichi par la chance d’un placement boursier. Alors, on s’étale, on se vautre dans le luxe tapageur des parvenus. Un bal couronnera la réussite, auquel seront invités le ban et l’arrière-ban de ce que l’on prend pour le grand chic parisien.  Pas question pour Madame que la jeune Antoinette, en frais miroir de sa propre décrépitude, vienne lui gâcher le plaisir de l’exhibitionnisme mondain. Des fois que passerait à portée l’amant potentiel… ... (Lire).


 


Photo Charles Hermand

 

LE RÊVE D’UN HOMME RIDICULE de Fiodor Dostoïevski. Mise en scène Olivier Ythier.
Il se tient là, les yeux pleins de générosité, le sourire attentif. Puis il se met à parler à chacun, comme un sage momentanément revenu de ses propres rêves. Est-il ridicule, selon ce mot qu’il répète avec douceur ? Est-il fou, comme peut l’être un ermite devant le regard étonné, voire méfiant, goguenard ou sarcastique, que portent sur lui les gens ordinaires ?
Et il raconte son presque suicide qu’une enfant a interrompu par sa supplication, la mauvaise conscience d’y être resté sourd, la relation ambiguë qu’il entretient avec ce pistolet tentateur, l’étoile qui lui dit l’indicible. Surtout son insondable solitude peuplée des rêves d’un ailleurs entrevu. ... (Lire).



 
      SPECTACLES

 
 


Photo Paule Thomas

 

CINQ DE CŒUR. LE CONCERT SANS RETOUR. Mise en scène Meriem Menant.
L’affiche serait-elle trompeuse ? Au premier abord, elle est pourtant séduisante. Un piano voguant sur les flots, emportant le Cinq de cœur dans sa traversée, doit réserver de grandes surprises. Pourtant, une fois sur scène, c’est le retour sur la terre ferme. Un peu coincé et droit comme un « i », le Cinq de cœur annonce: « ce soir, le grand répertoire est à l’honneur… en allemand ». Les voix des sopranos, de l’alto, du ténor et du baryton s’élèvent et emplissent l’air a cappella. La technique est irréprochable. Recueillement du public venu écouter Brahms, Schubert, Bach... Mais, soudain, coups de tête et jalousies se manifestent. Par bravade ou vengeance, le quintette se chamaille. L’affiche revient alors en mémoire comme un boomerang ! ... (Lire).

 

 
      EXPOSITIONS

 
 


© Cy Twombly Foundation

 

CY TWOMBLY. Né en 1928 à Lexington (Virginie), Cy Twombly fait des études d’art au Black Mountain College où il côtoie l’avant-garde américaine. Puis, en 1952, il fait un périple en Europe et en Afrique du Nord. De retour à New-York il réalise ses premières œuvres d’envergure dont la sonorité des titres (Quarzazat ; Volubilis) évoque des villages et sites archéologiques marocains. C’est avec quelques-uns de ces tableaux que commence le parcours de cette première rétrospective complète de l’œuvre de cet artiste. Grand voyageur, Cy Twombly fera ensuite de nombreux séjours en Egypte, dans les îles grecques, en Turquie, dans les petites Antilles, dans divers pays d’Europe et d’Asie, etc. et surtout en Italie où il rencontre sa femme, en 1959, et où il s’installe jusqu’à sa mort, en 2011. Il travaille dans divers ateliers, en particulier à Rome, à Bassano (au nord de Rome), à Gaète (Latium) et enfin à Lexington, sa ville natale. Il expose surtout à New-York.
Sa production se caractérise par des séries consacrées à différents thèmes. Le parcours les aborde les uns à la suite des autres d’une manière chronologique. ... (Lire).

 

 
 
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