
Parcours en images de l'exposition
GABRIELE MÜNTER
Peindre sans détours
avec des visuels
mis à la disposition de la presse
et nos propres prises de vue
Légendes en cours de finition. Merci de revenir plus tard.
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Entrée de l'exposition |
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«Ce qui est expressif dans la réalité, je l'extrais, je le représente, simplement, sans détours, sans fioritures. Ainsi, [...] les formes se rassemblent en contours, les couleurs en surfaces, il en résulte des esquisses du monde, des images.»
Gabriele Münter
Gabriele Munter (1877-1962) compte parmi les femmes artistes les plus éminentes de l’expressionnisme allemand. Artiste voyageuse, indépendante, habitée par la passion de la création, elle a suivi une vocation nourrie par la pratique du dessin dès son plus jeune âge. Afin de se libérer des contraintes des académies d’art traditionnelles, elle s’inscrivit en 1902 à l’école de la Phalanx à Munich. Elle y rencontra Vassily Kandinsky (1866-1944), dont elle fut la compagne jusqu’en 1916, participant à la fondation des cercles munichois d’avant-garde: la Nouvelle Association des artistes de Munich en 1909, puis Le Cavalier bleu en 1911
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Texte du panneau didactique. |
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Voyages et lieux de vie de Gabriele Münter
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Le parcours chronologique commence par les photographies, prémices de sa carrière artistique. Témoignant de ses premiers voyages, aux États-Unis (1898-1900) et en Tunisie (1905), celles-ci sont d’une surprenante qualité visuelle et novatrice. Puis on découvre ses gravures, lors de son premier séjour parisien (1906-1907), marqué par la rencontre des avant-gardes, en particulier du fauvisme. Suivent les chefs d’œuvres de sa période expressionniste (1908-1914), correspondant à son activité au sein des avant-gardes munichoises. La section suivante évoque les intérêts de Münter pour les expressions vernaculaires et l'art des enfants. Un ensemble inédit de ses dessins ouvre sur son second séjour parisien (1929-1930), qui révèle son évolution stylistique, en lien avec les nouvelles tendances de la figuration. Le parcours se clôt avec quelques œuvres phares du milieu des années 1930 à la fin des années 1950, qui donnent un aperçu de la permanence et de l'intensité de l’engagement artistique de Gabriele Münter, le projet d’une vie, elle qui déclarait vouloir simplement peindre «sans détours» |
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Note sur les techniques picturales de Gabriele Münter
Les recherches actuelles concernant les techniques picturales des artistes modernes montrent que celles-ci sont complexes: d’une part, certaines techniques ressemblent à de la peinture à l’huile alors qu’elles ne contiennent presque pas d’huile; d’autre part, des liants aqueux contenant de fortes concentrations d’huile ont été utilisés. Ainsi, l’expression «huile sur toile», employée de façon générique et simplifiée, recouvre en réalité une gamme variée de techniques de peintures. Concernant les œuvres de Gabriele Münter, l’huile a souvent été détectée dans les analyses récentes des liants auxquels elle a eu recours. Toutefois, une analyse détaillée n’étant pas disponible pour l’ensemble de ses peintures, les expressions «huile sur toile» et «huile sur carton» n'ont délibérément pas été retenues dans les notices techniques des œuvres provenant de la Gabriele Münter und Johannes Eichner Stiftung et de la Städtische Galerie im Lenbachhaus und Kunstbau München; seul le support (carton ou toile) est ainsi indiqué.
Lenbachhaus = Städtische Galerie im Lenbachhaus und Kunstbau München.
Toutes les citations sont de Gabriele Münter. |
Texte du panneau didactique sur le parcours de l'exposition. |
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Note sur les techniques picturales de Gabriele Münter et autres notes. |
1 - KODAK GIRL
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États-Unis
Profitant d'un long séjour (1898-1900) auprès de sa lointaine famille émigrée aux États-Unis, Münter réalise des centaines de prises de vue après avoir acheté un appareil photo dans une ville du Texas. Elle exploite avec virtuosité les diverses possibilités qu'offre ce médium encore récent. Alors peu influencée par un enseignement artistique précis, Münter suit ses propres goûts et intérêts, aiguisant ainsi sa vision. Ses futurs thèmes de prédilection émergent presque tous: le paysage, l'enfance, le travail et le portrait. Ces photographies, qui peuvent être considérées comme les premières œuvres de Münter, marquent le début sa longue carrière. |
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Tunisie
Au cours d'un voyage en Tunisie (fin 1904-1905), Münter et Kandinksy parcourent des lieux éloignés des circuits touristiques de l'époque. Ils travaillent beaucoup, côte à côte, sur le motif. Si Münter se plaît à broder des textiles d'après des esquisses de Kandinsky, elle réalise surtout près de 150 peintures et dessins, et prend environ 180 photographies. Il s’agit moins d’une expérience artistique que d’une confrontation à une culture autre dont elle fixe le quotidien, les gens dans la rue, des éléments d'architecture et de calligraphie. Ses peintures et photographies témoignent d’une vision originale qui échappe aux poncifs orientalistes.
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CHRONOLOGIE 1
1877 Naissance à Berlin. Son père décède en 1886.
1897 Münter suit des cours dans une école d'art privée pour dames à Düsseldorf.
Décès de sa mère.
1898-1899 Münter et sa sœur Emmy séjournent chez des parents de leur mère à différents endroits des États-Unis.
1901 Installation à Munich. Formation à l'Académie de l'Association des Artistes Femmes, à l'École Wolff Neumann et à l'École Phalanx, fondée par Kandinsky.
1904 Voyage avec Kandinsky en Hollande.
En décembre, ils rejoignent la Tunisie en passant par Strasbourg, Bâle, Lyon et Marseille.
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Texte du premier tableau chronologique. |
2 - PREMIERS PAS SUR LA SCÈNE PARISIENNE
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Au début du XXe siècle, Paris est l'épicentre de l'art moderne européen, où les artistes du monde entier se pressent. Münter y séjourne près d’une année, occasion pour elle de poursuivre sa formation et d'exposer pour la première fois de sa carrière. Elle dessine et peint d'après modèle vivant à l'Académie de la Grande-Chaumière, à Montparnasse. Elle approfondit sa pratique de la gravure, réalisant de nombreuses estampes inspirées par son environnement quotidien. Elle visite les galeries d'art et des collections privées, en particulier celle de la famille Stein, des collectionneurs américains chez qui elle peut voir des œuvres de Gauguin, Bonnard, Cézanne, Picasso et surtout Matisse. Ce séjour parisien aura une influence décisive sur sa manière de peindre, libérant sa touche et son usage de la couleur.
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CHRONOLOGIE 2
1906 Arrivés en mai, Münter et Kandinsky logent d'abord dans le Quartier latin, puis à Sèvres. À partir du 17 novembre 1906 et jusqu'au mois de mars 1907, Münter loue une chambre seule au 58, rue Madame, à Paris. Les collectionneurs Sarah et Michael Stein, mécènes de Matisse, habitent dans le même immeuble.
1907 Münter expose six peintures réalisées à Paris, au Salon des indépendants, et six gravures de sujets parisiens au Salon d'automne.
1908 Münter se fixe à Munich. Première exposition personnelle au Kunstsalon Lenobel, une galerie de Cologne.
1915 Exposition personnelle de Münter à la Galerie Der Sturm, à Berlin. L'exposition circule pendant un an à Munich, Francfort, Dresde, Stuttgart, Fürth et Wiesbaden.
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Texte du deuxième tableau chronologique. |
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3 - PORTRAITS MUNICHOIS
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À partir de l'été 1908, Münter vit et travaille dans le quartier bohème de Schwabing, à Munich. Elle peint alors de nombreux portraits de personnes de son entourage, et les habitants de son immeuble. Celui du propriétaire, Monsieur Miller, est un portrait très personnel, voire intimiste, dont la force d'expression se voit accentuée par les ombres bleues et vertes qui parsèment son visage. Elle portraiture également Mademoiselle Mathilde, qui travaillait comme domestique chez sa sœur, ainsi que les enfants de ses voisins, dont le petit Wilhelm Blob, surnommé Will.
Dans cette série de portraits, Münter recourt à des moyens stylistiques nouveaux qu'elle expérimente depuis son séjour à Paris. Elle utilise une palette de couleurs très vives, qui ne correspondent pas aux teintes naturelles de la peau. On y décèle l'influence des peintres «fauves» français, ainsi que sont qualifiés Matisse, Delaunay, Derain et d'autres pour leur emploi de couleurs criardes, contre nature, qui font scandale. Cette audace picturale résonne étroitement avec les aspirations des artistes expressionnistes allemands, qui cherchent à traduire un état d'esprit intérieur, ou un sentiment, par le jeu des tonalités colorées et un trait acerbe. En mêlant formes simplifiées et couleurs chatoyantes, Münter entend dépasser la réalité pour privilégier ce qu'elle perçoit et n'est pas nécessairement visible.
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4 - MUNICH, MURNAU ET LE BLAUE REITER
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En 1909, Münter acquiert une maison à Murnau, village situé à une heure de train de Munich, au pied des Préalpes bavaroises et au bord du lac Staffel. Ce site l'enthousiasme, par sa diversité de motifs - les maisons aux façades colorées, le lac, les marais, les montagnes - qui l'inspirent continuellement. Au même moment, elle participe activement ou renouveau de l'art à Munich: elle est membre fondatrice de la Nouvelle Association des artistes de Munich et, en 1911, du Cavalier bleu, aux côtés de Kandinsky, Franz Marc, August Macke et Paul Klee, entre autres. Cette période est marquée par le travail collaboratif au sein de ce cercle d'artistes que réunit une même fascination spirituelle pour le paysage et la nature. Münter participe aux expositions du groupe et à l'édition du célèbre Almanach, ouvrage théorique et programmatique qui pose les bases d’une nouvelle avant-garde internationale et pluridisciplinaire.
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CHRONOLOGIE 3
Juin 1908 Münter découvre Murnau avec Kandinsky. Ils y passent la fin de l'été avec les artistes Alexej von Jawlensky (1864-1941) et Marianne von Werefkin (1860-1938).
1909 Création de la Nouvelle Association des Artistes de Munich par Münter, Kandinsky, Jawlensky et Werekfin, et première exposition du groupe à la Galerie Thannhauser à Munich.
1911 Création du Cavalier bleu et première exposition du groupe à la Galerie Thannhauser à Munich. Münter photographie l'accrochage.
1912 Publication de l'Almanach du Cavalier bleu.
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Texte du troisième tableau chronologique. |
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5 - RETOUR AUX SOURCES
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Intérêt pour l'enfance et l'art vernaculaire
Les artistes du Cavalier bleu considèrent l'art populaire et les dessins d'enfants comme des expressions originales et authentiques à même de ressourcer l'art moderne. Münter collectionne les objets traditionnels et vernaculaires tels que les fixés sous verre du sud de la Bavière, dont elle apprend la technique pour la réinterpréter avec ses propres motifs, et les statuettes de dévotion. Plusieurs de ces artefacts deviennent les sujets de natures mortes originales. Au fil des ans, Münter constitue par ailleurs avec Kandinsky une collection de plus de 250 dessins d'enfants. Certains d'entre eux sont reproduits dans l'Almanach du Cavalier Bleu. Münter copie et réinterprète quelques-unes de ces créations enfantines, selon un processus de désapprentissage et de renouvellement de sa pratique artistique.
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CHRONOLOGIE 4
1908-1909 Münter apprend la technique de la peinture sous verre auprès de Heinrich Rambold (1872-1955), l'un des derniers spécialistes de cet art, établi à Murnau.
1914 Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, Kandinsky doit quitter précipitamment l'Allemagne. Münter et lui se rendent en Suisse.
En septembre, décès d'August Macke.
En novembre, Kandinsky retourne en Russie.
1915 Münter est à Berlin. Exposition personnelle à la Galerie der Sturm. En juillet, elle part en Suède. Münter et Kandinsky se retrouvent à Stockholm de décembre 1915 à mars 1916. Ils ne se reverront plus ensuite.
1916 Mort de Franz Marc sur le front.
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Texte du quatrième tableau chronologique. |
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6 - BERLIN, PARIS, LES ANNÉE 20
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Une nouvelle figuration
Entre 1915 et 1920, Gabriele Münter réside en Scandinavie, où elle a été accueille comme une représentante importante de l'avant-garde internationale. À son retour en Allemagne, après cet exil, elle doit pourtant repartir de zéro. Elle adopte un langage visuel inspiré d'une nouvelle tendance de la figuration, désignée sous le nom de «Nouvelle Objectivité»: dans sa peinture aux tonalités plus retenues, la figure humaine tient un rôle essentiel. Parallèlement, le dessin qui, dès ses débuts, fut pour Münter une technique de prédilection, devient son principal moyen d'expression, en cette période où l'artiste dispose rarement d’un atelier. Ses dessins se caractérisent par une grande économie de moyens: une physionomie, une posture est fixée en quelques lignes. Münter s'attache tout particulièrement à faire le portrait des femmes libres et émancipées qu'elle fréquente à Berlin et à Paris, où elle revient plusieurs mois en 1929 et 1930.
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Texte du panneau didactique. |
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CHRONOLOGIE 5
1915-1920 Exil en Scandinavie. Münter vit successivement en Suède et au Danemark.
1918 Importante exposition personnelle à Copenhague, avec plus de 130 œuvres.
1926 Münter commence à fréquenter l'école de peinture d'Arthur Segal (1875-1944) à Berlin.
1927 Münter rencontre le philosophe et historien de l’art Johannes Eichner (1886-1958), qui devient son compagnon.
1929-1930 Second séjour à Paris. Elle se réinscrit à l'Académie de la Grande-Chaumière.
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Texte du cinquième tableau chronologique. |
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7 - UNE NOUVELLE VIE À MURNAU
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En 1931, Münter s'installe définitivement à Murnau. C'est le début d'une période d'intense création. Les rues de ce village pittoresque et les paysages alentour constituent les motifs principaux d'œuvres dans lesquelles elle renoue avec sa propre tradition expressionniste. Sous le IIIe Reich, elle réduit ses apparitions publiques sans pour autant cesser de travailler, même si son compagnon, l'historien de l'art Johannes Eichner, lui enjoint d'assagir sa touche et de veiller au choix de ses sujets. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'art de Münter est progressivement redécouvert et son importance réaffirmée. Un épais cerne noir séparant des aplats de couleur aux tonalités douces caractérise nombre de ses peintures à partir du milieu des années 1930. On y distingue moins les traces de pinceau, et le principe de la reprise en série évacue le contexte du sujet représenté. La radicalité formelle de ces images autonomes, très synthétiques, met à distance les catégories traditionnelles du portrait, du paysage et de la nature morte.
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CHRONOLOGIE 6
1938 Mai: promulgation de la loi sur la «confiscation des produits de l'art dégénéré».
Münter cache dans la cave de sa maison, à Murnau, ses propres peintures ainsi que sa collection d'œuvres de Kandinsky et d'autres artistes du Cavalier bleu.
1950 Participe à la 25e Biennale de Venise.
1955 Participe à la première documenta de Cassel.
1957 Reçoit la médaille d'or d'honneur de la ville de Munich et devient commandeure de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne.
À l'occasion de son 80e anniversaire, Münter fait don de très nombreuses œuvres des artistes du Cavalier bleu et de son entourage au Lenbachhaus (Munich).
1962 Münter s'éteint, le 19 mai, dans sa maison de Murnau.
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Texte du sixième tableau chronologique. |
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8 - DIFFUSION DE L'ŒUVRE DE GABRIELE MÜNTER
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