Parcours en images de l'exposition

GAUGUIN L'ALCHIMISTE

avec des visuels mis à la disposition de la presse,
d'autres glanés sur le Web
et nos propres prises de vue


Parcours accompagnant l'article publié dans la Lettre n°444 du 20 décembre 2017



 

Le droit de tout oser


 
Panneau (introduction).
 

Paul Gauguin (1848-1903). Nature morte au profil de Laval, 1886, huile sur toile ; 46 x 38,1 cm. Indianapolis, Museum of Art, collection de Samuel Josefowitz consacrée à l’école de Pont-Aven. © Indianapolis Museum of Art.

1 - LE LABORATOIRE DES FORMES
Scénographie
 
Edgar Degas (1834-1917). Répétition d’un ballet sur la scène, 1874. Huile sur toile. Paris, Musée d’Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). La Bergère bretonne, 1886. Huile sur toile. Newcastle upon Tyne.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Cahier pour Aline, 1893. Manuscrit.
 
Camille Pissarro (1830-1903) et Paul Gauguin (1848-1903). Double portrait de Gauguin par Pissarro et Pissarro par Gauguin, vers 1880-1883. Crayons de couleur et fusain sur papier vergé bleu. Paris, musée d’Orsay.
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Dame en promenade dit aussi La petite parisienne, vers 1880. Bois partiellement polychromé en rouge et noir. Santa Monica.
 
Camille Pissarro (1830-1903). La Bergère dit aussi La jeune Fille à la baguette ou Paysanne assise, 1881. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Jean Gauguin, avril 1881. Cire rouge teintée peinte à l’aide d’un pigment léger. Charlottenlund, Ordrupgaard.
 
Paul Gauguin (1848-1903). La Chanteuse (portrait de Valérie Roumi), 1880. Acajou et plâtre partiellement polychromés, rehauts dorés. Copenhague.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Coffret, 1884. Poirier teinté en rouge. Santa Monica.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Cadre aux deux « G » entrelacés, entre 1880 et 1885. Bois de noyer, tirage moderne d’une photographie découpée dans une photographie du couple Gauguin. Paris, musée d'Orsay.
L'objet mis en scène
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Nature morte à la mandoline, 1885. Huile sur toile. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903).  Fleurs, nature morte dit aussi Intérieur du peintre rue Carcel, 1881. Huile sur toile. Oslo.
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Portrait de femme à la nature morte de Cézanne, 1890. Huile sur toile. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Cabinet, 1881. Aulne polychromie. Hambourg.
Monstruosités
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Portrait de l’artiste au Christ jaune, 1890-1891, huile sur toile ; 38 x 46 cm. Paris, musée d’Orsay, acquis par les Musées nationaux avec la participation de Philippe Meyer et d’un mécénat japonais coordonné par le quotidien Nikkei, 1994. © Rmn - Grand Palais (musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Le chapeau rouge, 1886. Huile sur toile. Santa Monica.
 
Paul Gauguin (1848-1903). La belle Angèle, 1889. Huile sur toile. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Enfant endormi, 1884, huile sur toile ; 46 x 55,5 cm. Collection particulière. © Collection particulière.
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Pot en forme de buste de jeune fille (portrait de Jeanne Schuffenecker), 1889. Grès, décor d'engobes colorés. Collection particulière.
 
Paul Gauguin (1848-1903). L’Atelier de Schuffenecker dit aussi La Famille Schuffenecker, 1889. Huile sur toile. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Socle et couvercle de fontaine, vers 1889. Paris, musée d'Orsay.
 
Anonyme, Pérou, côte nord (culture mochica). Vase-portrait à anse-goulot en étrier, entre 100 av. J.-C. et 700 apr. J.-C. Paris, musée du quai Branly.
2 - LE GRAND ATELIER
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). La ronde des petites bretonnes, 1888, huile sur toile ; 73 x 92,7 cm. Washington, National Gallery of Art, collection de Mr et Mme Paul Mellon. © National Gallery of Art, Washington.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Vase à deux embouchures, hiver 1886-1887. Grès décor d’engobes colorés, glaçure partielle. Paris, Petit Palais.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Jardinière, hiver 1886-1887. Grès partiellement glaçuré, engobes colorés. Collection particulière.
 
Paul Gauguin (1848-1903). La Toilette, 1882. Poirier. Strasbourg.
Femmes fatales
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Lavandières au bord du canal, 1888. Huile sur toile. New York, MoMA.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Laveuses à Arles, dit aussi Lavandières, 1888, huile sur toile ; 74 x 92 cm. Bilbao, Museo de Bellas Artes de Bilbao © Bilboko Arte Ederren Museoa - Museo de Bellas Artes de Bilbao.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Nègreries Martinique, 1890. Gouache, aquarelle, encre, rehauts dorés, collage sur papier marouflé sur panneau. Collection particulière.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Femme caraïbe, novembre 1889. Huile sur bois. Collection particulière.
Paul Gauguin (1848-1903). Éventail au paysage de Martinique, vers 1887. Aquarelle et gouache sur papier. Londres.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Bâton de marche, vers 1888-1890. Bois, nacre, verre et fer. New York, Met.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Luxure, vers 1890. Chêne, pin avec traces de polychromie et rehauts dorés, métal. Frederikssund.
3 - DU SUJET AU SYMBOLE
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Jeune garçon nu, vers 1888. Pastel, sanguine et fusain sur papier vergé beige. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Les Baigneurs, dit aussi Jeunes baigneurs bretons, 1888. Huile sur toile. Hambourg.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Dans les vagues, 1889, huile sur toile ; 92,5 x 72,4 cm. Cleveland, The Cleveland Museum of Art, don de Mr et Mme William Powell Jones. © The Cleveland Museum of Art.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Soyez mystérieuses, 1890, bois de tilleul partiellement polychrome, traces de crayon de couleur sombre ; 73 x 95 x 5 cm. Paris, musée d’Orsay. © Rmn-Grand Palais (musée d’Orsay) / Tony Querrec.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Léda, 1889. Suite Volpini, couverture, 1ère édition, unique état. Paris.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Vase avec Léda et le cygne, hiver 1887-1888, grès partiellement glaçuré, engobes colorés ; 22,9 x 20,3 x 20,3 cm. Collection particulière. © Collection particulière.
Misères humaines
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Soyez amoureuses, vous serez heureuses, 1899. Suite de gravures sur bois tardives, 2e état imprimé sur un tirage du 1er état. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Misères humaines, hiver 1889. Plume, encre et aquarelle sur calque marouflé sur un support récent. Collection particulière.
 
Paul Gauguin (1848-1903). La Vendange ou La Pauvresse dit aussi Misères humaines, 1888. Huile sur toile de jute. Charlottenlund, Ordrupgaard.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Nature morte aux fruits, été 1888, huile sur toile ; 43 x 58 cm. Moscou, musée d’État des Beaux-Arts Pouchkine. © The Pushkin State Museum of Fine Arts, Moscou.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Portrait de Jacob Meyer de Haan, 1889, bois de chêne polychromé ; 58,4 x 29,8 x 22,8 cm. Ottawa, National Gallery of Canada, achat en 1968.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Ève bretonne, 1889. Aquarelle et pastel sur papier. San Antonio.
4 - L'IMAGIER DES TROPIQUES
Scénographie
 
Panneau.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Tête de tahitienne, 1892-1893, repris en 1894-1895. Plume et encre noire, lavis et aquarelle sur traits à la mine de plomb sur papier vélin. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Habitation de Gauguin à Punaauia, vers 1896. Album Tahiti et Dépendances, 1894-1898. Tirage sur papier albuminé. Paris, musée du quai Branly.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Intérieur de case, 1898-1899. Suite de gravures sur bois tardives. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). L’Univers est créé, 1893-1894. Suite Noa Noa, 3e état (sur trois). Gravure sur bois tirée en deux passages à l’encre noire et brune, rehauts d’aquarelle. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Mahna no varua ino (Le Diable parle dit aussi Le Jour du mauvais esprit), 1893-1894. Suite Noa Noa, 4e état (sur quatre). Gravure sur bois tirée en deux passages à l’encre noire et brune, sur un bloc encré de jaune. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Le Repas dit aussi Les Bananes, 1891. Huile sur papier marouflé sur toile. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Upaupa (Fête) dit aussi La Danse du feu ou Le Diable parle, 1891. Huile sur toile. Jérusalem.
L'Arcadie tahitienne
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Ahaoe feii? (Eh quoi ! Tu es jalouse ?), 1892, huile sur toile ; 66,2 x 89,3 cm. Moscou, musée d’État des Beaux-Arts Pouchkine. © The Pushkin State Museum of Fine Arts, Moscou.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Ahaoe feii ? (Eh quoi ! Tu es jalouse ?), 1894. Monotype à l’aquarelle réalisé à partir d’une plaque de verre. Chicago.

 
Paul Gauguin (1848-1903). Te nave nave fenua (Terre délicieuse), 1892, retravaillé vers 1894. Fusain et pastel sur papier. Des Moines.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Te nave nave fuena (Terre délicieuse), 1892, huile sur toile ; 91,3 x 72,1 cm. Kurashiki, Ohara Museum of Art. © Ohara Museum of Art, Kurashiki.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Arearea (Joyeusetés), décembre 1892. Huile sur toile. Paris, musée d’Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Nave nave moe (Eau délicieuse), 1894. Huile sur toile. Saint Pétersbourg.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Pape moe (Eau mystérieuse), 1893-1894. Aquarelle, craie noire, plume à l’encre noire et brune (violette à l’origine), touches de pinceau et encre noire sur papier vélin ivoire. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Pape moe (Eau mystérieuse), 1894. Chêne polychrome. Copenhague.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Femmes de Tahiti dit aussi Sur la plage, 1891. Huile sur toile. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). I raro te oviri (Sous les pandanus), 1891. Huile sur toile. Dallas.
Noa Noa, voyage de Tahiti
Scénographie
Paul Gauguin (1848-1903), en collaboration avec Charles Morice (1860-1919). Noa Noa, voyage de Tahiti, 1894-1901. Manuscrit (seconde version). Album relié en cuir. Paris, musée d’Orsay. Sur l'écran (voir ci-dessus) sont reproduites les pages de ce manuscrit.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Noa Noa, voyage de Tahiti. Édition de Jules Meier-Graefe, Berlin, 1926. Couverture illustrée en noir et blanc. Paris, musée d'Orsay.
Paul Gauguin (1848-1903). Noa Noa, voyage de Tahiti. Paris, éditions Crès, 1924. Couverture illustrée en couleurs.
Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903), imprimé en collaboration avec Louis Roy (1862-1907). Te Atua (Les Dieux), 1894. Suite Noa Noa, 3e état (sur trois). Gravure sur bois tirée à l’encre noire sur une encre orange. Chicago.
5 - MYTHES ET RÉINVENTIONS
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Autoportrait à l’idole, vers 1893. Huile sur toile. San Antonio.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Merahi metua no Tehamana (Les aïeux de Teha’amana), 1893, huile sur toile ; 75 x 53 cm. Chicago, the Art Institute, don Mr. et Mrs.Charles Deering McCormick. © the Art Institute of Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Oviri, 1894, grès partiellement glaçuré ; 75 x 19 x 27 cm. Paris, musée d’Orsay. © Rmn-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Parau hina tefatou dit aussi Paroles de la lune et de la terre, 1893-1894. Encre grise, encre brune, craie noire, sur papier vélin ivoire. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Cylindre décoré de la figure de Hina, 1892, bois de tamanu, rehauts dorés ; 37,1 x 13,4 x 10,8 cm. Washington, Hirshhorm Museum and Sculpture Garden, Smithsonian Institution, acquis grâce à des fonds du Smithsonian Institution Collections Acquisition Program, 1981. © Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Smithsonian Institution, Washington / photo Lee Stalsworth.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Tii à la perle dit aussi Idole à la perle, 1892. Bois de tamanu, rehauts peints et dorés, perle, chaînette en or. Paris, musée d'Orsay.
Esprits
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Nature morte aux fleurs et à l’idole, vers 1892. Huile sur toile. Zurich.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Mahana no atua (Le jour de Dieu), 1894, huile sur toile ; 68 x 91 cm. Chicago, the Art Institute, Helen Birch Bartlett Memorial Collection. © the Art Institute of Chicago.
 

Paul Gauguin (1848-1903). Manaò tupapaú (L’Esprit veille, dit aussi L’Esprit des morts veille), 1892, huile sur toile de jute marouflée sur toile ; 73 x 92 cm. Buffalo, New-York, collection Albright-Knox Art Gallery, collection A. Conger Goodyear. © Albright-Knox Art Gallery.

 

Paul Gauguin (1848-1903). Manaò tupapaú (Elle pense au revenant, dit aussi L’Esprit des morts veille), 1893-1894, gravure sur bois ; 20,4 x 35,6 cm (image), 20,7 x 35,7 cm (feuille). Chicago, the Art Institute, collection Clarence Buckingham. © the Art Institute of Chicago.

 
Paul Gauguin (1848-1903). Manao tupapau (Elle pense au revenant dit aussi L’esprit des morts veille), 1894-1895. Gravure sur bois tirée à l’encre noire, rehauts d’aquarelle, sur papier japon ivoire.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Manao tupapau (Elle pense au revenant dit aussi L’esprit des morts veille), 1894-1895. Bloc de bois.
6 - EN SON DÉCOR
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Te Rerioa (Le rêve), 1897, huile sur toile ; 95,1 x 130,2 cm. Londres, The Samuel Courtauld Trust, The Courtauld Gallery. © The Samuel Courtauld Trust, The Courtauld Gallery, Londres.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Baigneuses à Tahiti, 1897. Huile sur toile de jute. Birmingham.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Et l’or de leur corps, 1901. Huile sur toile. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Arii matamoe (La Fin royale), 1892. Huile sur toile grossière. Los Angeles.
Paul Gauguin (1848-1903). Te fare amu dit aussi La Maison pour manger, 1895 ou 1897. Bois polychrome. Princeton.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Parahi te Marae (Là réside le temple), 1892, huile sur toile ; 66 x 88,9 cm. Philadelphia, The Philadelphia Museum of Art. Don de Mr et Mme Rodolphe Meyer de Schauensee, 1980. © Philadelphia Museum of Art.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Vairumati dit aussi Vairumati tei aa (Vairumati elle se nommait), 1897. Huile sur toile. Paris, musée d'Orsay.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Deux femmes des îles Marquises, vers 1902. Dessin-empreinte sur papier vélin fauve. Philadelphie.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Femme avec un chat, vers 1900. Dessin-empreinte, impression en deux teintes, encre noire, graphite et crayon bleu sur papier vélin crème. Chicago.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Saint Orang, entre 1902 et 1903. Bois de miro (bois de rose). Paris, musée d'Orsay.
 
Anonyme, îles Marquises. Tiki (sculpture anthropomorphe), XIXe siècle. Bois. Paris, musée du quai Branly.
La frise
Scénographie
 
Paul Gauguin (1848-1903). Le cheval blanc, 1898, huile sur toile ; 140,5 x 92 cm. Paris, musée d’Orsay. © Rmn-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.
 
Paul Gauguin (1848-1903). L’invocation, 1903, huile sur toile ; 66,5 x 75,6 cm. Washington, National Gallery of Art, donation John et Louise Booth en mémoire de leur fille Winkie. © National Gallery of Art, Washington.
Paul Gauguin (1848-1903). Faa Iheihe (Pastorale tahitienne), 1898, huile sur toile ; 54 x 169,5 cm.
Londres, Tate Gallery, don de Lord Duveen. © Tate, Londres, dist. Rmn-Grand Palais / Tate Photography.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Nave nave mahana dit aussi Jours délicieux, 1896. Huile sur toile. Lyon, musée des Beaux-Arts.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Rupe rupe (luxuriant) dit aussi La Cueillette des fruits, 1899. Huile sur toile. Moscou.
Scénographie
Paul Gauguin (1848-1903). Le Calvaire breton (Souvenir de Bretagne); Le Char à bœufs (Souvenir de Bretagne);Misères humaines (Souvenir de Bretagne), 1898-1899. Suite de gravures sur bois tardives, unique état. Chicago.

 
Paul Gauguin (1848-1903). Adam et Ève dit aussi Le Départ, vers 1900. Monotype mis au carreau à la mine de plomb sur papier sergé. États-Unis, collection particulière.
 
Paul Gauguin (1848-1903). Changement de résidence, 1899. Suite de gravures sur bois tardives, impression du 2nd état montée sur une impression du 1er état. Chicago.
La Maison du Jouir
Scénographie
Scénographie avec la reconstitution de l'entrée de La Maison du Jouir. Gauguin (1848-1903), 1901-1902.
Bois de Sequoia gigantea partiellement polychromé.
Paris, musée d'Orsay.
 
Gauguin (1848-1903). Thérèse, servante du Père Paillard, 1902. Bois de miro (bois de rose). Collection particulière.
 
Gauguin (1848-1903). Le Père paillard, cornu, caricature de l'évèque, 1902. Bois de miro (bois de rose). Washington.
 
Anonyme (éditeur : Museum für Länder-und Völkerkunde, Linden-Museum Stuttgart). Maison du conseil des Maoris, entre 1928 et 1937. Procédé photomécanique monochrome sur papier. Paris, musée du quai Branly.
 
Gauguin (1848-1903). La Maison du Jouir, détail, 1901-1902. Bois de Sequoia gigantea partiellement polychromé. Paris, musée d'Orsay.