Parcours en images de l'exposition

FRAGONARD AMOUREUX, GALANT ET LIBERTIN

avec des visuels mis à la disposition de la presse,
d'autres glanés sur le Web
et nos propres prises de vue

(parcours accompagnant l'article publié dans la Lettre n°388
du 16 novembre 2015)



1 - Le berger galant
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. Le Colin-Maillard, vers 1754-1756, huile sur toile ; 116,8 x 91,4 cm. Toledo, Toledo Museum of Art, don Edward Drummond Libbey.
 
François Boucher. Les Charmes de la vie champêtre, vers 1735-1740, huile sur toile ; 100 x 146 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures.
2 - Les amours des dieux
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. Psyché montre à ses soeurs les présents qu’elle a reçus de l’Amour, 1753-1754, huile sur toile ; 168,3 x 192,4.
Londres, The National Gallery, acquis en 1978.
 
Jean-Honoré Fragonard. Diane et Endymion, vers 1755-1756, huile sur toile ; 94,9 x 136,8 cm. Washington, National Gallery of Art. Timken Collection.
3 - Eros rustique et populaire
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. L’Enjeu perdu ou Le Baiser gagné, vers 1759-1760, huile sur toile ; 48,3 x 63,5 cm. New York, The Metropolitan Museum, don de Jessie Woolworth Donahue, 1956.
 
François-Philippe Charpentier, d’après Jean-Honoré Fragonard. La Culbute, vers 1766, gravure en manière de lavis, tirage bistre ; 30 x 41 cm. Paris, Bibliothèque nationale de France, département des Estampes et de la Photographie.
4 - Fragonard illustrateur des contes libertins
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. Illustrations des Contes de Jean de La Fontaine, Volume 2 : Le Bât, vers 1765, contre-épreuve de pierre noire, reprise à la plume et encre brune, lavis brun ; 36,5 x 27,5 cm.
Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris.
 
Jean-Honoré Fragonard. Illustrations des Contes de Jean de La Fontaine, Volume 1 : La Servante justifiée, vers 1765 ? contre-épreuve de pierre noire, reprise à la plume et encre brune,
lavis brun ; 36,5 x 27,5 cm.
Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris.
5 - Pierre-Antoine Baudouin, un maître en libertinage
Scénographie
 
Pierre-Antoine Baudouin. Les Soins tardifs, vers 1767, gouache sur papier ; 29 x 21 cm. Paris, musée des Arts décoratifs, département des Arts graphiques.
 
Pierre-Antoine Baudouin. Marchez tout doux, parlez tout bas ou La Fille mal gardée, 1767, gouache sur papier ; 29 x 22 cm. Paris, musée des Arts décoratifs, département des Arts graphiques.
 
Pierre-Antoine Baudouin. L’Épouse indiscrète, vers 1767-1769, gouache sur papier ; 30 x 27 cm. Paris, musée des Arts décoratifs, département des Arts graphiques.
 
Jean-Honoré Fragonard. La Résistance inutile, vers 1770-1773, huile sur toile ; 45 x 60 cm. Stockholm, Nationalmuseum.
6 - Fragonard et l'imagerie licencieuse
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. Les Jets d’eau, vers 1763-1765 ?, lavis brun sur esquisse à la pierre noire ; 26,5 x 38,4 cm. Williamstown, Sterling and Francine Clark Art Institute.
 
Jean-Honoré Fragonard. Les Pétards, vers 1763-1765 ? lavis brun sur esquisse à la pierre noire ; 26,3 x 38,1 cm. Boston, Museum of Fine Arts. Fond Otis Norcross et Fond Seth K. Sweetser.
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. Deux femmes sur un lit jouant avec deux chiens ou Le Lever, vers 1770, huile sur toile ; 74,3 x 59,4 cm. Collection de Lynda et Stewart Resnick.
 
Attribué à Jean-Baptiste Pater. Étreinte, vers 1730, huile sur toile ; 23 x 27 cm. Marseille, Musée Grobet-Labadié.
 
Jean-Honoré Fragonard. Les Baigneuses, vers 1765-1770, huile sur toile ; 64 x 80 cm. Paris, Musée du Louvre, département des Peintures.
 
Jean-Honoré Fragonard. L’Instant désiré, vers 1770, huile sur toile ; 50 x 61 cm. Suisse, collection Georges Ortiz.
 
Jean-Honoré Fragonard. La Chemise enlevée, vers 1770, huile sur toile ; 35 x 42 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures.
 
Jean-Honoré Fragonard. Le Baiser, vers 1770, huile sur toile ; 52 x 65 cm. Collection particulière.
7 - La lecture dangereuse
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. L’Inspiration ou Portrait présumé de Louis-, François Prault, vers 1769, huile sur toile ; 81 x 65 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures.
 
Jean-Honoré Fragonard. Le Billet doux ou La Lettre d’amour, vers 1775, huile sur toile ; 83,2 x 67 cm. New York, The Metropolitan Museum, collection Jules S. Bache, 1949.
 
Auguste Bernard d’Agesci. La Liseuse, dit aussi Femme lisant les lettres d’Héloïse et Abélard, vers 1784, huile sur toile ; 81,3 x 64,8 cm. Chicago, The Art Institute of Chicago, fond Mrs. Harold T. Martin, Lacy Armour Endowment, collection Charles H. et Mary F. S. Worcester.
 
Pierre-Antoine Baudouin. La Lecture, vers 1765, gouache sur papier ; 29,2 x 22,6 cm (avec cadre). Paris, musée des Arts décoratifs, département des Arts graphiques.
8 - Le renouveau de la fête galante
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. Le Jeu de la main chaude, vers 1775-1780, huile sur toile ; 115,5 x 91,5 cm. Washington, National Gallery of Art, collection Samuel H. Kress.
 
Jean-Honoré Fragonard. L’Île d’Amour, vers 1770, huile sur toile ; 71 x 90 cm. Lisbonne, Fondation Calouste Gulbenkian.
9 - L'amour moralisé
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. L’Adoration des Bergers, vers 1775-1776, huile sur toile ; 74 x 94 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures.
 
Jean-Honoré Fragonard. Le Verrou, vers 1777-1778, huile sur toile ; 74 x 94 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures.
 
Louis-Léopold Boilly. Ce qui allume l’amour l’éteint ou La Philosophie,
1790, huile sur toile ; 45 x 55 cm.
Saint-Omer, musée de l’Hôtel Sandelin.
 
Jean-Honoré Fragonard. L’Armoire, 1778, eau-forte. Paris, Bibliothèque nationale de France, département des Estampes et de la Photographie.
10 - La passion héroïque
Scénographie
Jean-Honoré Fragonard. Illustrations du Roland furieux de l'Arioste, vers 1780.

« Jusqu’à sa mort, l’Arioste (1474-1533) ne cessa de retravailler son Orlando furioso. Il réinvente l’histoire des croisades, entremêlant geste guerrière, épisodes amoureux et récits fantastiques.
De multiples éditions du Roland furieux voient le jour dans l’Europe des Lumières. Fragonard s’est littéralement pris de passion pour l’épopée, au point de tenter de l’illustrer quasiment scène après scène. Bien qu’interrompu au bout du seizième chant, ce projet donna naissance à quelque cent quatre-vingts dessins. On ne sait ni pour qui, ni dans quel but cette série fut exécutée. Tout juste peut-on la situer, par comparaisons stylistiques,à la fin des années 1770. Cette suite éblouissante de virtuosité témoigne de la capacité de l’artiste à traduire une oeuvre aussi riche et complexe que le Roland furieux. La série marque un point d’acmé dans la carrière de Frago qui illustre ici magistralement la passion et les dérèglements amoureux poussés à leur paroxysme.»
 
Jean-Honoré Fragonard. Alcine rejoint Roger dans sa chambre, vers 1780, pierre noire estompée, lavis brun ; 38,5 x 23,5 cm. Collection particulière.
 
Jean-Honoré Fragonard. Renaud entre dans la forêt enchantée, vers 1761-1765, huile sur toile ; 72 x 91 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures.
11 - Les allégories amoureuses
Scénographie
 
Jean-Honoré Fragonard. Le Sacrifice de la rose, vers 1785-1788, huile sur toile ; 64,1 x 54 cm. Collection de Lynda et Stewart Resnick.
 
Jean-Honoré Fragonard. La Fontaine d’amour, vers 1785, huile sur toile ; 64,1 x 52,7. Los Angeles, J. Paul Getty Museum.
 
Jean-Baptiste Greuze. L’Enfant à la colombe, vers 1780, huile sur toile ; 64,4 x 53,3 cm. Douai, musée de la Chartreuse.
 
Claude-Joseph Dorat. illustrations d’après Charles Eisen. Les Baisers
La Haye (Paris), 1770, in-8°.
Paris, Bibliothèque nationale de France, réserve des livres rares.